La richesse et la confiance.
L’argent à toujours occasionné des écarts importants entre les individus. Grand nerf de guerre et pouvoir absolu le cash réunit et divise. Il divise surtout lorsqu’il favorise un individu plutôt qu’un autre selon sa caste. Et oui, les castes sociales existent toujours et je ne crois pas qu’elles s’éteindront de si tôt.- Je vous rappelle que l’homme est un animal grégaire et que comme dans tout bon troupeau il doit y avoir un chef de bande. S’en suit d’une hiérarchie composée d’alpha et d’oméga. L’Homme est certes évoluée en comparaison avec les chimpanzés mais ses instincts, sa domination et sa férocité demeurent.-Ainsi, l’agent est l’un des outils les plus prisés par l’Homme, car il lui procure le Feu Sacré. Et parfois, comme dans la jungle, entre les tribus et meutes, les guerres éclatent. L’outil, grand pilier devient bourreau.
Favoritisme
Dans les entreprise, c’est la même chose. Le favoritisme ou le Luckysperm peut projeter au sommet des individus grâce à leurs connexions inter-personnelles ou à leur sang. C’est comme cette histoire d’enfant d’entrepreneur propulsé au titre de Président quand papa ou maman est trop vieux pour s’occuper de la compagnie. C’est drôle les nouveaux avenus qui se nomment «entrepreneur». Ça enfle la tête j’imagine devenir un King.
Alors vous imaginez comment la chasse à l’emploi est rude pour l’étudiant de classe moyenne, qui doit réaliser chaque étape du processus de recrutement et d’échelle hiérarchique dans l’entreprise? Et ce, malgré la santé florissante du système économique présent. Avec tout ça, c’est bien normal qu’il est une diminution de la confiance entre les employés et les dirigeants. L’iniquité des richesses humaines et monétaires créent des conflits. Le cash divisent , si mal utilisé.
Mettre la table
D’abord, on retrouve plus ou moins deux sociétés et deux vitesses. Et avec ces deux vitesses on retrouve des écarts importants qui influencent la qualité des services offerts à une population et de la façon dont on traite celle-ci et plus spécifiquement les individus.
Grossièrement, voici les qualitatif de ces deux vitesses: la TGV des Luckysperm et la vitesse moyenne connu pas l’ensemble moyen de la population.
1.Le Luckysperm.
Ça c’est la fifille ou le fifils à maman-papa qui, avant sa naissance avait déjà une carrière d’aligné avec un gros trust en garantie. La vie pour cette personne n’est pas très compliquée, elle peut bénéficier d’une haute éducation sans se soucier de rien. Le luckysperm est en fait basé sur les critères d’hérédité qui garantissent un avenir prédéfini à l’enfant. C’est aussi cette caractéristique qui permet à l’enfant d’atteindre de prestigieuse écoles universitaire dont Harvard fait parti. La raison n
2. Les normaux
Enfants de bonnes familles souvent avec deux parents de la classe moyenne. L’enfant grandit dans un climat normal, il travaille chez Mcdo ou dans une autre grosse chaîne, gagne son argent de poche. Papa-maman paie pour son éducation, parfois jusqu’à l’Université. Et, s’il est studieux, il peut se trouver un bon stage par l’excellence académique, par sa dévouance et par son intelligence hors pairs.
Voici un exemple amusant du système d’éducation et du marché du travail.
Et maintenant ?
Avec un système à deux vitesse qu’est-ce qu’on peut tirer comme conclusion?
Oui, il y aura toujours des castes. Oui l’argent mènera toujours le monde , oui il y a toujours des gens plus riches , oui il y a toujours des inégalités. Oui oui et oui.
Mais cela ne veut pas dire que la réussite n’y est pas, bien au contraire. Se faire rejeter est en fait une bonne chose comme l’expriment Padma Lakshmi, Natasha Lyonne et autres femmes lors de événement How I get it done qui eut lieu le 7 mars dernier organisé par le New York Magazine.
Et VLAN dans tes dents Luckysperm.
A.C.
Comment vous est venue l’idée de ce billet et quel est son rapport avec le cours ?
J’aimeJ’aime
Bonjour,
Voici le lien de mon article avec le cours ; Je suis partie du concept abordé dans la présentation de Mr. Leroux sur les « Écarts dans la richesse et la confiance» et me suis penchée sur le le recrutement dans les entreprises et plus précisément sur les les défis que relève les jeunes diplômés dans leur recherche d’emploi dans un système à deux vitesses composé des riches et de la classe moyenne. Car une entreprise sans main d’oeuvre ça ne communique pas grand chose. Ainsi, cet article s’inscrit dans le cours en illustrant d’une part que «la concentration de la richesse a créé un écart important entre certains groupes de travailleurs plus éduqués et les autres » et d’une autre part que certaines entreprises favorisent la sélection de leurs candidats de façon subjective et par favoritisme. En ce qui concerne la conclusion, je trouvais important et intéressant de mettre en relief la persévérance dans la recherche d’emploi en plus de faire écho aux femmes de têtes qui ont réussi leurs carrières professionnelle en travaillant constamment avec acharnement.
J’aimeJ’aime